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L’aromathérapie remonte  à  l’Antiquité, les Egyptiens incluaient déjà dans leurs potions curatives des plantes  et  les utilisaient pour embaumer leurs  momies. Ce n’est que plus tard, au XIème siècle, qu’apparaîtra l’idée d’extraire les principes actifs des plantes par distillation.

L’aromathérapie est une branche de la phytothérapie (phyto = plantes et thérapie = soigner). Elle consiste à recueillir les principes actifs des plantes par un processus complexe de distillation à la vapeur d’eau pour en récupérer la forme liquide et concentrée que l’on  appelle huile essentielle. Il ne s’agit pas de corps gras, mais d’une infinité de molécules actives odorantes. Chaque huile essentielle possède une composition chimique particulière appelée « chémotype ». Il est défini en fonction de l’environnement de la plante, du sol, de l’exposition au soleil, de la température, de sa résistance face aux intempéries, etc… Une même espèce végétale peut donc produire des huiles essentielles différentes et posséder ainsi plusieurs « chémotypes ».

Leurs propriétés thérapeutiques sont variées : antispasmodique, antiseptique, antivirale,  antibactérienne,  antimycosique, antiparasitaire, relaxante, immunostimulante, etc. La plupart du temps, le parfum des huiles essentielles exerce un effet bénéfique sur le mental d’un individu en influençant directement son équilibre psycho-émotionnel. Les huiles essentielles peuvent en cela jouer un rôle important dans la prévention des maladies liées au stress. En améliorant notre équilibre et notre bien-être général, elles permettent de mieux résister à la fatigue, contribuent à la restauration de l’équilibre du corps et de l’esprit, favorisent l’élimination des tensions nerveuses. Par exemple le parfum de la rose aura ainsi un effet relaxant, et celui de la menthe un effet stimulant.

Les huiles essentielles  peuvent s’utiliser  de plusieurs manières.

Par voie orale – les huiles doivent  être diluées de préférence dans de l’huile végétale, du miel, du sirop d’agave
Par voie cutanée – les huiles essentielles pénètrent très bien dans la peau et agissent en profondeur dans l’organisme et doivent être diluées dans une huile végétale. 
Par diffusion ou par inhalation – elles peuvent être respirées par inhalateur ou être diffusées dans une pièce  avec un diffuseur d’huiles essentielles, notamment pour assainir l’air, le dépolluer, tuer les microbes, ou tout simplement, créer une ambiance olfactive agréable.

Les huiles essentielles  sont des substances extrêmement  puissantes : quelques gouttes  par jour suffisent pour obtenir une  action thérapeutiqueL’aromathérapie utilise des produits naturels, mais ce n’est pas  une médecine douce, sans danger. Une très grande prudence est nécessaire.  C’est la raison pour laquelle il est  important de consulter un médecin   ou un  thérapeute qui  en a  une connaissance approfondie.


Le mot phytothérapie provient de deux mots grecs qui signifient « soigner avec les plantes ». Les  plantes ont toujours été connues pour leurs propriétés nutritives mais aussi pour leurs propriétés curatives.  Le premier texte écrit sur la médecine par les plantes est gravé sur des tablettes de la civilisation sumérienne, 3000 ans avant J-C. Les plantes ont constitué la base de la pharmacopée des civilisations antiques.

La phytothérapie est une  méthode thérapeutique qui utilise des extraits de plantes médicinales. L’utilisation des plantes médicinales est encore aujourd’hui la forme de médecine la plus répandue à travers le monde.

Les scientifiques, actuellement, ont entrepris de nouvelles recherches. Comme par exemple, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et la Communauté européenne ont créé des organismes visant à recenser les usages traditionnels des plantes médicinales, à les valider sur le plan scientifique et à mieux comprendre leurs mécanismes sous-jacents. Les plantes ont des effets curatifs et préventifs sur de nombreuses maladies et affections.

Cependant, la recherche et le développement en phytothérapie sont fortement handicapés comparativement à l’industrie pharmaceutique. En effet, il est très difficile de financer des recherches qui montreraient, par exemple, l’efficacité du pissenlit, du desmodium, du chardon marie pour soigner le foie, sachant qu’on ne pourra jamais breveter ces plantes afin de rentabiliser l’investissement.

En phytothérapie, la synergie entre les différents composants et principes actifs de la plante est primordiale. Malheureusement, les méthodes de recherche actuellement reconnues sont basées sur l’isolement d’un seul élément à la fois, pour tenter de connaître son effet particulier. Toutefois, on élabore maintenant de nouveaux protocoles de recherche rigoureux qui respectent les particularités des plantes (synergie, prise en compte des éléments traces, action vibratoire, etc.)


L’homéopathie – mot inventé par Hahnemann (1755- 1843) – vient du grec «omoios», semblable et «pathos», souffrance, maladie. L’homéopathie est une thérapeutique à part entière, enseignée dans certaines facultés, reconnue par le Conseil de l’ordre des médecins et introduite à la pharmacopée française depuis 1965.  La paternité de l’homéopathie, dont la naissance date de 1790, revient à Samuel Hahnemann, médecin allemand du XVIII ème siècle, qui a mis en application le principe de similitude connu depuis Hippocrate – «les semblables sont guéris par les semblables» – et a découvert la posologie infinitésimale. 

C’est une méthode thérapeutique individualisée qui repose sur 3 notions :

La  notion de similitude, grand principe pharmacologique, selon lequel une substance a la possibilité d’induire chez un sujet sain, un ensemble de symptômes identiques à ceux qu’elle est susceptible de guérir chez un sujet malade. Un exemple simple: le café, pris un peu tard dans la journée empêche la plupart d’entre nous de dormir. Ce même café dilué et dynamisé «Coffea» devient un remède contre l’insomnie. L’activité pharmacologique des doses homéopathiques est confirmée comme par exemple  pour l’aspirine et les saignements. Alors que l’aspirine utilisée à doses allopathiques, augmente le temps de saignement, à certaines dilutions homéopathiques, elle le réduit. 

L’emploi de médicaments dilués et dynamisés est  la condition sine qua non pour l’application de la notion de similitude. Le haut degré de dilution évite la toxicité des remèdes (administrés sous forme de granules, globules, gouttes). En cela l’homéopathie est  une médecine de l’INFINITESIMAL. 

Enfin, l’individualisation du traitement à laquelle correspond la notion de globalité et de singularité de la personne.

L’homéopathie est aussi une médecine de terrain. Cette  notion de terrain a été introduite par Hahnemann, qui a été le premier à constater la diversité des réactions individuelles face à la maladie. Nous utilisons plusieurs paramètres tels que : 
le tempérament (d’après la classification héritée d’Hippocrate : sanguin, lymphatique, bilieux et nerveux)
la diathèse, c’est à dire la manière naturelle dont chaque individu va réagir à l’agression. Il existe  quatre diathèses : 

la sycose, la luèse, la psore le tuberculinisme. 
la constitution, qui prend en compte les informations fournies par l’apparence, la taille, la silhouette de la personne. Il existe trois types de constitution :

le carbonique, le phosphorique et le fluorique.

Ces  trois  thérapeutiques aromathérapie, phytothérapie, homéopathie   rentrent  dans le cadre des soins de supports en cancérologie.  Ces traitements peuvent accompagner la personne dans les différents stades de la maladie, tant au niveau psychologique qu’au niveau physique. Il est intéressant d’utiliser ces traitements  avant et après une intervention chirurgicale pour une bonne tolérance de l’anesthésie, pour limiter les saignements lors de l’intervention, et pour une bonne cicatrisation, mais aussi au cours d’une chimiothérapie où  cela va diminuer les effets secondaires comme les  nausées et vomissements, diarrhées, mucite (aphtes), constipationCes traitements  aident  au drainage du foie, des reins, et  diminuent le risque  des infections liées à l’immunosuppression induite par  certains traitements  conventionnels

Les premiers élixirs floraux ont été découverts en Angleterre dans les années 1930 par le docteur Edward Bach. En soignant ses patients, le Dr Bach s’est rendu compte qu’il traitait les symptômes physiques, mais que bien souvent les vraies causes des maladies étaient émotionnelles. Il considérait que la maladie était le signe d’un déséquilibre ou d’un état émotionnel négatif, et que le retour à la santé passait par le rétablissement de l’équilibre de l’état émotionnel. À partir de cette prise de conscience, il s’est trouvé sur une voie qui l’a amené de l’allopathie à l’homéopathie, et finalement à la découverte des propriétés curatives des fleurs. Ses premiers 38 élixirs floraux, et le Rescue (remède d’urgence) communément appelés « les Fleurs de Bach », sont maintenant connus dans le monde entier. Pendant quarante ans, il n’en existait pas d’autres. Mais à la fin des années 1970, d’autres élixirs, produits à partir d’autres fleurs, ont commencé à faire leur apparition avec différents laboratoires.

Les élixirs floraux se prennent généralement par voie orale, en sublingual comme l’homéopathie. Certains existent en crème comme la pommade au Rescue.  Ce sont des remèdes naturels à base de fleurs sauvages ou cultivées. On les utilise pour résoudre des conflits intérieurs, éliminer des tensions émotionnelles, relever des défis et surmonter les épreuves de la vie. Ils agissent en transformant les émotions, les attitudes et les habitudes comportementales qui entravent notre épanouissement personnel. Les élixirs floraux s’adressent à l’équilibre subtil de l’âme.